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11/05/2008
Arthur
Je me suis perdu là dans ta belle poésie tes vers sonnent le glas et m’ouvre grand l’ouie trouver un sens vital en me plongeant dans ce livre de l’absceinte à la verticale dans ton bateau ivre tes écris resteront blêmes pour les autres candidats et de tes vivants poèmes tu faisais ton monde à toi mc07.
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09/02/2008
Mimi l'orchidée
Mimi l’orchidée a toi la femme qu’on appelait fille de joie a toi la fille que l’on nous montrait du doigt a toi ma fée qui m’a donné tant de caresses a toi la femme que j’appelais ma déesse. je t’es croisé un soir au fond d’mes insomnies alors que les lumières allaient toutes disparaître toi tu étais la première femme de ma vie je me demande si tu allais me reconnaître.
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25/01/2008
Rossignol
Rossignol au printemps joli rossignol tu chantes à tue tête, posé sur ta branchette a guetter les lucioles. pour qui chantes-tu rossignol ? dans la lueur matinale de l’astre sidéral qui est ton symbol. les feuilles de ta branche rossignol qui commencent à paraître dont la saison les fait renaître irrégulières et folles. attention à toi rossignol.
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19/01/2008
Maman
Maman.
je n’étais pas un petit ange
derrière mon sourire de diablotin
les yeux bleus plein de louanges
mais la tête engorgée de pépins.
je ne fus pas sage garçonnet
et t’en faisais voir mille couleurs
un mal de vivre dans ce jardinet
du monde et ma triste douleur.
ces moments qui te faisais pâlir
dans mon insolence de révolté
et de ne jamais te faire plaisir.
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19/01/2008
Durs labeurs
Personne, personne !
sur la prairie verte des steppes mongole, il n’y avait rien. pas âmes qui vivent. une étendue d’herbe à perte de vue et, par ci par la, une colline ou deux. le vent frais du printemps épousait mes cheveux et me revint en mémoire ce poème. durs labeurs sur mon cheval percheron dont la crinière rêche tressée par des mains sèches rongées par la moisson.
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19/01/2008
Tsunami
Tsunami. la juste clarté brille sur une terre isolée quand ta vague mon ami bouleverse le jeu de quilles de tes plages touristifiées ha ! mon ami, mon sous ami ! tu étais venu là pour passer des vacances je le sais mon ami mais avais-tu le choix ? le souffle du silence… ha ! mon ami, mon sous ami ! s’échouer sur le sable comme une algue morte.
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