Pillards, pillards je ne retournerai plus sur les pas de cette civilisation tenue secrète, dans les rouages de ces soldats guerriers de pacotille en trompette. leur musique roule le tambour, les baguettes ricochant sur la peau de nos chèvres dont ils ont recoure quand ils pillent nos entrepôts. ils s’en viennent, cent, mille, appauvrir nos modestes revenus l’or.
Le soldat il a marche de longues heures pour retourner chez lui, la guerre lui laisse la douleur, blessé à l’épaule par l’ennemi. sous le soleil de plomb sans gouttes d’eau fraîche il va retrouver ses blonds jumeaux laissé tête bêche. sur le chemin de terre, au milieu d’une oliveraie il se repose sur une pierre a l’ombre d’un olivier.
Je me suis perdu là dans ta belle poésie tes vers sonnent le glas et m’ouvre grand l’ouie trouver un sens vital en me plongeant dans ce livre de l’absceinte à la verticale dans ton bateau ivre tes écris resteront blêmes pour les autres candidats et de tes vivants poèmes tu faisais ton monde à toi mc07.