Pays, patrie et si l’on se disait tout sur ce grand patriotisme qui oublie les trous, et nombre de paroxysmes. quand devants les allitérations de gens, sois disant prophètes, emprisonnant les solutions venants de leurs poètes. pour guérir cette terre des ratés de ce monde , croyant à la vie volontaire, sans guidés par les secondes. mais ou est la vérité.
Ni queue ni tête
c’est une histoire sans queue
c’est une histoire sans tête,
comme un procès sans aveux
ou une prison sans savonnettes.
c’est une histoire sans début
c’est une histoire sans fin,
comme une potence sans pendu
ou une guillotine sans guillotin.
c’est une histoire sans conteur
c’est une histoire sans manuscrit,
comme un mensonge sans menteur.
Poésie qui « pette » trompette
on a jouer à la crapette,
tu m’as fais une entourloupette
j’ai pris la poudre d’escampette.
puis on a fait des galipettes
on s’amusait à faire grimpette
moi je relevais ma houppette
toi tu descendais ta jupette.
tu m’as traité de lopette
en te prenant pour une pépettes.
moi j’ai pris perpette
tous ça pour une pipette
mais j’étais encore pompette.
Les potences. regardez les, accrochés là comme de la viande au crochet, au bout de la corde que tu vois nouées en forme de lacets. embellit d’un nœud papillon et la gorge en ligature, une langue de dégobillons sort d’une bouche en ouverture. ils sont las, les bras ballants exposés sur la place public et comme pour dernier châtiment, les corbeaux dans leur chaire pique.
Rossignol au printemps joli rossignol tu chantes à tue tête, posé sur ta branchette a guetter les lucioles. pour qui chantes-tu rossignol ? dans la lueur matinale de l’astre sidéral qui est ton symbol. les feuilles de ta branche rossignol qui commencent à paraître dont la saison les fait renaître irrégulières et folles. attention à toi rossignol.