Migration la neige efface les traces des animaux qui poussés par le froid du pôle allaient lentement chercher leur rôle tel des acteurs pris par leur scénario. le blizzard collait les particules gelées sur leur poils cotonneux en couverture pourquoi faut il partir à l’aventure ? où l’herbe verte jonche d’autres contrées. le craquellement de leurs sabots au sol.
Politiquement incorrect lanterne de vessie et urine sulfurique qu’ils te gicleront aussi de leurs pénis en trique ton regard lacrimale et ton teint qui palit va donc voter royal ou encore sarcozy. pauvre tache de misère engraisse ton parti nicolas en est fier de te voir si soumis grand citoyen de gauche elle aura notre peine et la tête que tu hoches.
Tsunami. la juste clarté brille sur une terre isolée quand ta vague mon ami bouleverse le jeu de quilles de tes plages touristifiées ha ! mon ami, mon sous ami ! tu étais venu là pour passer des vacances je le sais mon ami mais avais-tu le choix ? le souffle du silence… ha ! mon ami, mon sous ami ! s’échouer sur le sable comme une algue morte.
La fille de foi un jour souriante, tu me dis
d’une croix sur ton corps signant
ma vie je la dois à la théologie
mon amour devra être croyant.
tu n’as aucun respect en le créateur ?
qui jour de déluge de pluie
ordonna à un pauvre rameur
de conserver sur terre, la vie.
mais ton dieu lui dis-je
ne lui a pas demandé
d’une femme, avoir le prestige
pour qu’il puisse s’accoupler.
Ma vie, mon ciel, mon parachute la main gauche pour l’altitude le casque dans l’autre main ou sont posés pour l’attitude des autocollants pas malins. les jambes dirigent mon corps vers le cargo de largage face au souffle du moteur et les vapeurs d’essence volage . la porte se ferme d’un clac la puissance m’emporte j’ai mis plus que ma vie en sac.