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 19/01/2008
						
 
						
						
					  Durs labeurs
					
					Personne, personne ! 
sur la prairie verte des steppes mongole, il n’y avait rien. pas âmes qui vivent. une étendue d’herbe à perte de vue et, par ci par la, une colline ou deux. le vent frais du printemps épousait mes cheveux et me revint en mémoire ce poème.     durs labeurs    sur mon cheval percheron  dont la crinière rêche  tressée par des mains sèches  rongées par la moisson.
					
						
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