Nous quittions la ville de Tozheur
Pour un périple dans le Sahara.
Hussein et Mahmud pour accompagnateurs
Ainsi que deux dromadaires sur nos pas.
Une étendue de sable jaune,
Des dunes comme des vagues,
Poussé par le zéphyr cyclone
Qui chante et qui drague.
Je me retourne et vois encore
Au loin la citée magrébine,
L’astre solaire chauffe les corps
A travers les turbans bleu marine.
Mes guides prévois l’oasis
La plus proche, à deux jours
De marche, et qu’on puissent
Se reposer dans l’arrière coure.
Je me retourne encore un fois,
Rien, plus que l’étendue désertique
La monotonie du paysage renvoie,
La beauté de sa grandeur magnifique.
MC07