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19/01/2008
Petite Isabelle
Voici un texte écrit en 1995 en trois parties. le premier, qui va suivre, est plus ou moins tirer de faits réels. en effet à cette époque une fille m’avait raconter son attouchement par un de ses oncles… je ne me souviens pas pourquoi je ne l’ai pas écris comme tel mais en extrapolant un peu et en essayant de garder le fond de sa mésaventure. les deux autres qui suivront sont pure imagination de ma part et n’ont rien à voir avec l’histoire d’origine….
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19/01/2008
Poésie inachevée
Poésie inachevée.
mon regard de compassion mon arbre centenaire ma fulgurante ascension ma marche funéraire. ma joie de vivre triste mon gain de temps perpétuel cet enjeu qui m’attriste et cet amour mutuel. mon orchidée de montagne mon lac souterrain ma fleur de campagne mon sens riverain. mon sabot de venus ma vague déferlante mon caviar de prusse.
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19/01/2008
Maman
Maman.
je n’étais pas un petit ange
derrière mon sourire de diablotin
les yeux bleus plein de louanges
mais la tête engorgée de pépins.
je ne fus pas sage garçonnet
et t’en faisais voir mille couleurs
un mal de vivre dans ce jardinet
du monde et ma triste douleur.
ces moments qui te faisais pâlir
dans mon insolence de révolté
et de ne jamais te faire plaisir.
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19/01/2008
Balade du poltron éclaireur
La basse vallée de la loire pullulait de soldats en arroi* ils tenaient un flambeau pour ardroir,* notre village et nos toits… l’éclaireur partit aux vêpres* avec ses sajettes* en boujon*. pendant ce temps nos fevres* préparaient nos modestes haubergeons* l’éclaireur revenant nous enditter.
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19/01/2008
Tourmente
Je dois dire que le soir venu tout me fait peur. bien sur la peur est état de cause sur le poème ruisselant de mon cerveau.
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01/01/2008
Déclaration attendue
Tes lèvres douces juste effleurent ma bouche, d’une bise qui tarabuste en son de l’escarmouche. une marée indigo coule dans le fond, mon regard dans un tango se noie dans ton lagon. les images volées en douce dans le coin de ton oeil, ton sourire qui éclabousse flatte mon modeste orgueil. pourtant tu dois partir et me laisser pour la suite.
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