Ta chevelure païenne,
Ta bouche en mimique s’amuse,
Tes yeux me fixent à peine,
Oh, toi ma muse.
Donc tu souris encore
Et tes lèvres s’usent
De tes paroles je dévore
Oh, toi ma muse.
Alors tu parles toujours
Et je sens venir ma ruse,
Te coincer sur mon amour
Oh, toi ma muse.
Tes yeux s’écarquillent
Devant mes paroles qui fusent
Quand soudain ils brillent
Oh, toi ma muse…
MC05