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Aour !!! aour !!! aour !!! c’est le signal d’alarme, tous mes congénères se postent.

Par manque d'inspiration pour le moment, je vous laisse avec un poème de richard.

Pillards, pillards je ne retournerai plus sur les pas de cette civilisation tenue secrète, dans les rouages de ces soldats guerriers de pacotille en trompette. leur musique roule le tambour, les baguettes ricochant sur la peau de nos chèvres dont ils ont recoure quand ils pillent nos entrepôts. ils s’en viennent, cent, mille, appauvrir nos modestes revenus l’or.

Avec toi comme seul amis dans ce monde bien désuet mon oiseau de malheur assis.

Le marin de l’amour. je n’ai jamais été fort en ce qui concerne l’amour.

Voyages amoureux. avec ta gueule de velours dans tes divers facettes et que reluise aux alentours.

Pays, patrie et si l’on se disait tout sur ce grand patriotisme qui oublie les trous, et nombre de paroxysmes. quand devants les allitérations de gens, sois disant prophètes, emprisonnant les solutions venants de leurs poètes. pour guérir cette terre des ratés de ce monde , croyant à la vie volontaire, sans guidés par les secondes. mais ou est la vérité.

Tango c’est sur le souffle du bandonéon que nous nous sommes enlacés.

La femme contorsionniste il y a dans la rue de la bonne une femme contorsionniste.

Rossignol au printemps joli rossignol tu chantes à tue tête, posé sur ta branchette a guetter les lucioles. pour qui chantes-tu rossignol ? dans la lueur matinale de l’astre sidéral qui est ton symbol. les feuilles de ta branche rossignol qui commencent à paraître dont la saison les fait renaître irrégulières et folles. attention à toi rossignol.