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09/02/2008
Mimi l'orchidée
Mimi l’orchidée a toi la femme qu’on appelait fille de joie a toi la fille que l’on nous montrait du doigt a toi ma fée qui m’a donné tant de caresses a toi la femme que j’appelais ma déesse. je t’es croisé un soir au fond d’mes insomnies alors que les lumières allaient toutes disparaître toi tu étais la première femme de ma vie je me demande si tu allais me reconnaître.
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09/02/2008
Les potences
Les potences. regardez les, accrochés là comme de la viande au crochet, au bout de la corde que tu vois nouées en forme de lacets. embellit d’un nœud papillon et la gorge en ligature, une langue de dégobillons sort d’une bouche en ouverture. ils sont las, les bras ballants exposés sur la place public et comme pour dernier châtiment, les corbeaux dans leur chaire pique.
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25/01/2008
Rossignol
Rossignol au printemps joli rossignol tu chantes à tue tête, posé sur ta branchette a guetter les lucioles. pour qui chantes-tu rossignol ? dans la lueur matinale de l’astre sidéral qui est ton symbol. les feuilles de ta branche rossignol qui commencent à paraître dont la saison les fait renaître irrégulières et folles. attention à toi rossignol.
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19/01/2008
Monologue cérébrale
Monologue cérébrale ben voilà, une fois de plus ma gorge n’a pu que s’enrailler et ma bouche dans un rictus n’à pu se débloquer. pourtant ma tête elle a déjà monté le scénario les petites phrases trop belles qui m’engorge le cerveau j’en est assez de la poésie composé pour ces filles fictives mais tel est ma triste vie et ça c’est ce qui me motive.
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19/01/2008
Ma vie, mon ciel, mon parachute
Ma vie, mon ciel, mon parachute la main gauche pour l’altitude le casque dans l’autre main ou sont posés pour l’attitude des autocollants pas malins. les jambes dirigent mon corps vers le cargo de largage face au souffle du moteur et les vapeurs d’essence volage . la porte se ferme d’un clac la puissance m’emporte j’ai mis plus que ma vie en sac.
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19/01/2008
Les vieux enfants
Le sort s’acharne, je ne serais q’un vieux garçon mais où est passé le grand tombeur d’autrefois quand prospère d’amour, refusant toutes les leçons avec insolence mais en aimant toutefois. tu te vois déjà devenir une vieille fille trop de choix se mélangent dans ton corps de femme et tous ces regards de gars aux yeux qui brillent sur ta silhouette, que tes hanches les affament.
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