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19/01/2008
Punition éducative
Voici une punition qu’un prof de français m’avait donnée…. au lieu de me mettre 100 fois à copier bêtement une phrase débile, il m’infligea 100 mots sur le silence. punition que j’ai trouvée excellente et d’une éducation plus positive que du recopiage. il ne devait pas se douter que je lui écrirais un poème… son annotation en rouge en haut de la page fut : « intéressant »….
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19/01/2008
Politiquement incorrect
Politiquement incorrect lanterne de vessie et urine sulfurique qu’ils te gicleront aussi de leurs pénis en trique ton regard lacrimale et ton teint qui palit va donc voter royal ou encore sarcozy. pauvre tache de misère engraisse ton parti nicolas en est fier de te voir si soumis grand citoyen de gauche elle aura notre peine et la tête que tu hoches.
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19/01/2008
La blanche chèvre
Sur cette colline de la vallée du forez, une jeune bergère pleure. elle a vu son animal de tête tomber dans un ravin certes petit, mais escarpé. ce roc est la seule pierre à qui se confier… la blanche chèvre pierre, pierre, aide moi, ma chèvre blanche a trébuché et est là bas prise dans ces branches. le précipice est difficile surtout pour une fille, et moi moins habile.
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19/01/2008
Triste rupture
Triste rupture
cà y est, le couperet
tombe sur tes silences,
tes remords comme le mascaret,
remontent dans tes yeux de faïence.
moi, triste, les yeux secs
le rictus incompréhensible,
mais je dois faire avec
cette décision incompréhensible.
pourtant pas d’adultère
a déplorer à ce jour,
ni de passades éphémères,
juste plus un souffle d’amour.
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19/01/2008
Balade du poltron éclaireur
La basse vallée de la loire pullulait de soldats en arroi* ils tenaient un flambeau pour ardroir,* notre village et nos toits… l’éclaireur partit aux vêpres* avec ses sajettes* en boujon*. pendant ce temps nos fevres* préparaient nos modestes haubergeons* l’éclaireur revenant nous enditter.
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01/01/2008
Déclaration attendue
Tes lèvres douces juste effleurent ma bouche, d’une bise qui tarabuste en son de l’escarmouche. une marée indigo coule dans le fond, mon regard dans un tango se noie dans ton lagon. les images volées en douce dans le coin de ton oeil, ton sourire qui éclabousse flatte mon modeste orgueil. pourtant tu dois partir et me laisser pour la suite.
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